Vacances de rêve

Qui avait dit que les vacances ça faisait du bien ? Qui a osé dire une telle chose ? Hein ? Non ! Parfois c’est tout le contraire au point même que l’on préfère aller au boulot plutôt que de subir les événements.

Je ne vais pas tout vous raconter dans cette note, car elle serait trop longue. Je pense que comme ça, le suspens durera, mais cela vaut son pesant d’or !

Je vais commencer par le premier jour…

Mac G et moi travaillions le vendredi. Mes beaux-parents ayant récupéré les deux grands schtroumfs afin de ne pas les soumettre aux bagages et au stress du départ, nous n’étions que lui, Aby et moi. Donc, le vendredi soir (après une dispute carabinée), nous étions en train de charger notre belle voiture flambant neuf de tout ce dont nous avions besoin. Inutile de vous dire que pour 3 semaines de vacances et avec un breack, nous nous sommes lâchés dans le nombre de choses à emmener. La voiture était pleine à craquer, mais au moins nous étions sûr que nous manquerions de rien et que les enfants ne s’ennuieraient pas.

Donc, nous nous apprêtons à prendre la route le vendredi soir dans les alentours de 21h30, tout se passe pour le mieux, Aby est un petit ange et nous laisse faire tout ce dont nous avons besoin. A mi-chemin de notre destination, c'est-à-dire à plus de

150 km

de chez nous et du lieu d’arrivé, nous sommes tombé en panne… avec notre superbe voiture FLAMBANT NEUF !!!!!!! La boîte de vitesse qui s’est cassée.

A minuit, sur la A11 direction Angers, nous étions sur le bas-côté à attendre la dépanneuse et à faire les démarches d’assurance par téléphone.

Nous avons attendu la dépanneuse environ une demi-heure, pour ensuite attendre notre taxi une heure et demi dans le bureau du garage pour enfin faire le trajet inverse, direction

la maison. Et

dans ce raffut, Aby a été un ange. Elle n’a pas pleuré une seule fois. Pourtant quand nous étions sur l’autoroute arrêtés, avec le bruit des voitures qui passaient à grande vitesse, plus le mouvement de la voiture du à l’appel d’air des véhicules, elle aurait très bien pu avoir peur.

Au moins, de ce côté-là, nous étions tranquille.

Nous sommes donc arrivés à la maison à 4 heures du matin en sachant qu’entre temps, j’avais appelé Sergent Major afin qu’il nous passe sa voiture pour que nous puissions partir enfin en vacances et que ce dernier devait passer à la maison vers 6 heures du matin, juste avant qu’il prenne son service.

Donc, non seulement nous étions fatigués de l’aventure, mais en plus, nous n’avions pas droit à un sommeil bien mérité puisque nous devions reprendre la route dans la matinée, les enfants nous attendant chez mes beaux-parents et le camping attendant notre arrivée.

Sans compter que la moitié des bagages était restée dans notre voiture, car le taxi ne pouvait pas accueillir tout ce que nous avions.

Donc, non seulement nous débutions les vacances sans notre voiture, mais en plus sans la moitié des bagages que nous avions prévu d’emmener.

Et ce n’est pas tout, dans la prochaine note, il y aura la suite des événements. Cette note s’intitulera : Riche comme Crésus.